A la Gloire des Maines

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Problème de comportement


Le chaton peut être bien élevé par sa maman, vous avez bien préparé son arrivée et pourtant... il y a des couacs comportementales directement ou des années plus tard.
Même si un comportementaliste et/ou les vétérinaires peuvent vous aider, voici déjà quelques astuces, pistes à explorer...


Le chat commence a prendre une sale habitude que vous souhaitez lui faire perdre au plus vite, vous avez alars 2 façons de faire:

1) L'éducation positive => C'est-à-dire en renforçant un comportement voulu par des caresses, des friandises, ou alors par l'ignorance (le chat est censé se lasser), en veillant à ses besoins et impératifs, etc.

2) L'éduction ... négative => C'est-à-dire par le fait de hausser la voix, de dire un NON ferme, lui faire peur en tapant du pied ou en claquant des mains, ou en réalisant une musique très désagréable telle qu'une cuillère en bois tapée dans une casserole, ou l'effrayant avec un spray d'eau, ou en le secouant par le cou (légérement, on s'entend, comme sa mère l'aurait fait), etc.

Quelques exemples d'éducation positive :

- Le chat qui grimpe sur le plan de travail de la cuisine => On lui met un grand arbre à chat, avec plusieurs plateformes, dans la même pièce. On peut même y déposer régulièrement des friandises ou des croquettes pour lui montrer à quel point c’est mille fois plus intéressant que le plan de travail !

- Le chat qui griffe le canapé => On lui installe un super griffoir, haut et stable, contre le canapé à l’endroit qu’il a choisi. Petit à petit, on pourra le déplacer progressivement, un peu plus loin, mais pas trop car le chat griffe à des endroits stratégiques qu’il a choisi…

- Le chaton qui mordille/joue avec les câbles et fils électriques => On commence par sécuriser l’environnement en cachant tout ça ; Il existe des gaines faites exprès, mais on peut aussi tout simplement mettre des cartons ou fabriquer un caisson en bois… Ensuite, on veille à lui proposer des objets et jouets qui y ressemblent et qu’il peut mordiller en toute sécurité.

- Dans le cas du chat qui miaule en pleine nuit, ou fait le zouave dans la chambre jusqu’à vous réveiller, la seule technique réellement efficace est tout simplement l’IGNORANCE.
Avant de l’appliquer, il faut s’assurer que tous les besoins de base du chat sont remplis : Eau et nourriture à disposition, jouets, perchoir, griffoir, cachette…
Il faut aussi veiller à ce que ses journées soient suffisamment « fatigantes » (sans l’épuiser non plus). Pour un chat qui sort, c’est plutôt simple. Pour un chat d’intérieur, deux ou trois parties de jeu dans la journée devraient grandement aider.
On reste logique, donc si on ne veut pas que minou dorme dans la chambre, on ferme la porte TOUT LE TEMPS (ce n’est pas un jour oui, un jour non). Gardons quand même en tête que les chats n’aiment pas les portes fermées, et que certains aiment énormément dormir avec nous… donc si on en a la possibilité, laissons ouvert et laissons-le choisir son coin dodo. Une fois que tous ces points ont été vérifiés, passons à l’action (ou plutôt, à l’INACTION). L’ignorance demande un peu de sang-froid et de maîtrise, mais c’est vraiment la MEILLEURE façon de faire comprendre au chat que ses appels ne donneront rien. En quoi cela consiste ? Tout simplement à NE PAS REAGIR DU TOUT. Pas un mot, pas un soupir, pas un geste. RIEN. ZERO REACTION. NADA. (A moins qu’il vous saute sur le visage, là vous le repoussez juste avec la main sans rien dire). Il faut tenir le coup, ça peut être dur les premiers jours, voire les premières semaines… Mais c’est tellement peu, à côté des milliers de nuits paisibles qui vont attendent par la suite si vous respectez rigoureusement ce protocole.


Il fait ses griffes ailleurs que prévu ?

Griffer est un besoin physiologique pour les chats.
Outre l’entretien des griffes, cela leur permet également de déposer des marques visuelles et olfactives dans leur environnement. On remarque également que beaucoup de chats le font en s’étirant, au réveil notamment. Certains préfèrent les surfaces horizontales, d’autres verticales. Les goûts en termes de matière diffèrent également selon les individus, le lieu et le moment de la journée.
Il est nécessaire de proposer au chat plusieurs postes de griffade, suffisamment hauts pour lui permettre de s’étirer, et surtout parfaitement stables.
Pour choisir un bon griffoir, on doit varier :
    - Les formes (verticales, horizontales, inclinées)
    - Les matériaux (carton, sisal, paillasson, tissu…)
    - Les lieux (près du coin dodo, dans la pièce principale…)
Il faut dans un premier temps protéger/cacher la surface que l’on ne souhaite plus que le chat griffe : Carton, planche de bois, couverture de survie, papier aluminium… Plusieurs solutions sont possibles, à adapter en fonction du type de surface. Le but ici est d’empêcher physiquement le comportement de se produire et s’auto-renforcer.
Ensuite, on va placer un griffoir (de préférence dont la forme et la texture ressemblent à la surface protégée) à l’endroit exact où le chat griffait auparavant. Cette étape doit durer plusieurs jours, et même plusieurs semaines de préférence.
Progressivement, on va commencer par modifier un seul paramètre:
    - Soit en retirant la protection, en laissant le griffoir devant
    - Soit en laissant la protection et décalant le griffoir de quelques centimètres
Puis, petit à petit, on va pouvoir retirer complètement la protection et installer le griffoir à l’endroit souhaité. Attention toutefois à ne pas trop déplacer le griffoir.  En effet, si le chat a sélectionné cet endroit pour griffer, ce n’est pas anodin.  Laissons-le donc choisir l’emplacement qu’il préfère…  Comprendre que griffer est un besoin pour les chats (au même titre que manger, boire ou éliminer) permet de relativiser et d’être plus patient.e et bienveillant.e envers son animal.


Votre poilu était propre, subitement, il ne l'est plus ?
C'est un vaste problème pour lequel nous avons rédigé un article complet que vous pourrez retrouver en cliquant ICI.


Que faire en cas d'ATTAQUES/MORSURES/GRIFFURES ?

Consulter son/sa vétérinaire afin d’écarter toute cause médicale à cette agressivité (gêne, douleur, trouble neurologique…).
Veiller à ce que l’environnement soit suffisamment enrichi : Arbres à chats, gamelles anti-glouton et jouets distributeurs (exit les gamelles simples comme les bols ou assiettes !), fontaine à eau, cachettes, postes d’observation proches des fenêtres…
Jouer quotidiennement, mais attention, pas n’importe comment ! On évite les mains (et toute autre partie du corps) qui ne doivent pas être assimilées comme des jouets. Donc uniquement avec un intermédiaire (plumeau, canne à pêche, objet quelconque attaché au bout d’une ficelle…).
Prendre conscience qu’un chat qui se frotte aux jambes ou s’installe sur les genoux ne demande pas forcément à être caressé. Chaque individu a des zones préférées pour les caresses, ainsi qu’un seuil de tolérance plus ou moins élevé… C’est à nous de les repérer. Certains signes ne trompent pas : Yeux qui se ferment, ronron, recherche de contact avec la main, dos qui s’arrondit et queue qui se lève… Une technique très efficace pour savoir si un animal est d’accord pour se faire caresser est le test de consentement. Il consiste à caresser son animal quelques secondes, s’arrêter, et observer sa réaction. On peut aussi tendre la main et laisser l’animal s’y frotter.
En cas d’attaque de pieds/chevilles (un sport national chez nos adorables chatons), la priorité va être de stopper l’interaction. L’idée est de lui retirer la possibilité de renforcer son comportement et lui faire comprendre que ce type d’interaction n’a pas lieu d’être entre vous. Pour cela :
    - On repousse gentiment et calmement avec les mains, sans rien dire (pas de réprimande, grosse voix, « non », engueulade, plaquage au sol ou autre).
    - On donne une peluche à la place pour que chaton se défoule dessus (en mettre partout dans le logement permet d’en avoir toujours une sous la main).
    - On répète, encore et encore, autant de fois que nécessaire (CALMEMENT !).
    - Si on sent que l’on perd patience, on quitte la pièce et on s’en va. J’insiste : C’est NOUS qui partons et nous isolons. On ne l’enferme pas pour le « punir ».
Analyser et comprendre quelle est la cause du problème. Ennui ? Manque de stimulation ? « Syndrome du caressé-mordeur » ? Stress ? Cela va aider à mettre en place le plan d’action la plus adapté à la situation.

Il y a de multiples raison à des attaques, trouver le pourquoi vous donnera le comment !
Chaque soucis à sa solution, mais faut-il encore trouver quel est le soucis, c'est le plus difficile.
Et c'est là que ça se complique car, les raisons peuvent être vraiment vastes !!!

Au delà de tout ça, il se peut également que ce soit un chaton en pleine crise d'adolescence (de 6 mois minimum à 18 mois maximum je dirais, mais en moyenne vers 8-10 mois) qui joue au rebelle et dans ce cas, si vous ne renforcez pas son comportement, ça finira par passer tout seul.

Si ce n'est pas ça, il se peut également que votre loulou vous adresse un message: Votre moitié est trop proche de vous par exemple (jalousie) ou même le chien ou l'autre chat.

Le chat a peut-être lié un moment désagréable avec une caresse...  Par exemple, il a eu une crampe musculaire (pas du tout de votre faute) juste au moment où vous veniez de le caresser.  Pour lui, c'est donc vous le coupable et il peut avoir peur que ça recommence.

Votre chat peut vous griffer à cause d'une odeur désagréable également.  Votre voisin rentrait de promenade avec son chien, vous avez papotez un peu tout en caressant le canidé, pas sûr que votre chat va apprécier.
Etc., etc., etc.

Si l'animal n'attaque qu'une seule personne de la famille, essayez que celle-ci devienne la main nourricière un certain laps de temps.  Qu'il lui donne une friandise (un Castisfaction ou de la viande, par exemple) tout en le caressant (s'il accepte, sinon, juste la friandise d'abord, les caresses seront l'étape suivante).  Prenez le chat sur vous, et que la personne visée le caresse en même temps que vous.
En tout cas, s'il attaque malgré tout, ignorez-le et patience, beaucoup de patience...
Un chat énervé pour de bon, balance la queue, mets les oreilles en arrière et peut grogner, feuler ou souffler.

Il faut s'assurer que ces attaques ne sont pas un jeu pour le poilu !
En effet, les chatons s'attaquent les uns, les autres via des jeux lorsqu'ils sont encore avec leur maman.  C'est une étape d'apprentissage nécessaire pour apprendre à chasser.  Les chatons s'éduquent donc en comprenant qu'il fait mal en entendant son frère ou sa soeur crier, voir arrête de jouer (l'ignorance, vous vous rappeler ?).
Pour savoir si un chat cherche vraiment l'affrontement ou si c'est un jeu, vérifiez sa concentration sur sa "cible".  Lorsque c'est sérieux pour lui, qu'il est vraiment fâché et qu'il n'est pas là pour rire, vous n'arriverez pas à détourner son attention.  Par exemple, deux chats adultes qui se battent, toujours impressionnant à voir, mais finalement, ils jouent ou ils sont sérieux ?  Secouez leur sachet de friandise préférée ou faites du bruit avec leur jouet fétiche, s'ils jouent, ils arriveront direct !  S'ils se battent pour de bon, au mieux, vos essais feront cesser la bagarre, mais ils continueront de se toiser, ils ne viendront pas.

Alors, s'il attaque vraiment, vous pouvez commencer par "crier" pour lui faire comprendre qu'il vous a fait mal (un "aïe" expressif est suffisant), ensuite, si vous y arriver, le secouer par la peau du cou comme sa mère l'aurait fait (donc, attention, hors de question de le balancer d'un bout à l'autre de la pièce, c'est juste le comportement de punition qu'il doit comprendre => Sa mère aurait mordu la peau entre les 2 omoplates et aurait secoué sa tête 2-3 fois).  Pour finir, ignorez-le !  Quittez la pièce s'il le faut !  Un chat a horreur qu'on l'ignore, dans ce cas, même si ce n'est pas notre sentiment d'humain ressenti, nous avons gagné, il a perdu.

Vous devriez réussir à lui faire changer de comportement via la parole (lui parler beaucoup, calmement), la nourriture (un chat est un estomac sur patte la plupart du temps, vous arriverez bien mieux à l'apprivoiser/l'arnaquer moyennnant des friandises) et ... vous l'aurez compris, de la patience, énormement de patience (ne vous attendez pas à un changement en 2-3 jours, ce sera plus long que ça si c'est un comportement qu'il a déjà bien ancré en lui).

Y aller par pallier, s'il se laisse caresser sans attaquer, ne vous éternisez pas, ne lui faites pas croire qu'il est pris au piège, profitez de ce moment quelques secondes, puis la prochaine fois, une minute ou deux, etc.

Pour aider votre poilu à lâcher prise, à se relaxer, il faut déjà que vous le soyez vous !  Il ressentira automatiquement que vous êtes sur le qui-vive et fera de même.
Si vous êtes face à un chat rebelle de par son caractère, soyez ferme.  Si par contre, il réagit par peur, soyez rassurant.
Vous pouvez également vous embaumer les mains d'huiles essentielles prévues spécialement à cet-effet !  Elles ont un fort pouvoir apaisant sur une majorité des chats.
Mais attention, toutes les huiles essentielles ne sont pas compatibles avec nos animaux, c'est pourquoi je vous invite à vous renseigner auprès de votre vétérinaire ou auprès d'un commerçant spécialiste en la matière et de confiance (pas au Carrefour du coin de la rue).

Si malgré tous vos efforts, il n'y a toujours pas moyen, il vous reste à vous diriger vers un comportementaliste.
Certains vétérinaires sont spécialisés dans cette discipline ou alors, vous avez des personnes qui ne sont pas vétérinaire, mais bien comportementaliste.
Et dans cette dernière branche, il existe deux divisions:
    1) Celui qui se déplacera chez vous ou en tout cas, demandera pour voir l'animal, cela se fera sans doute sur plusieurs séances, mais généralement, tout rentre dans l'ordre rapidement.
    2) Celui qui va travailler sur base d'une photo...  J'ai lu beaucoup de témoignages de familles désemparées qui sont passées par là et pour qui ça a réellement fonctionné.  C'est moins cher (approximativement 40-50 €) et bien souvent, une seule séance suffit.
N'hésitez pas à visiter notre page des bonnes adresses, vous y trouverez peut-être votre perle rare   ;-)


Le problème d'agressivité peut être du également à une séparation précoce entre le chaton et sa maman pour x raison.
La détermination de l'âge idéal de départ suscite quelques théories différents:
  • L'âge idéal déterminé par le sevrage alimentaire: Depuis la domestication du chat, dans la plupart des cas, les chatons quittent leur maman dès qu'ils savent/peuvent manger seul du solide et non plus le lait maternel, c'est-à-dire vers 6 à 8 semaines.  Avant 8 semaines, c'est beaucoup trop tôt !!!  Le chaton doit encore apprendre des choses par sa maman mais aussi par ses frères et soeurs.
    A savoir que légalement, les chatons peuvent partir, dès leur 8ème semaine et pas avant.
  • L'âge idéal déterminé par le sevrage affectif: Depuis quelques années, certains éleveurs et certains comportementalistes estiment l'âge idéal vers les 4 mois du chaton (16 semaines) !!!  Car selon eux, le chaton est sevré au niveau de son alimentation, mais n'est pas encore prêt à quitter sa maman.  Celle ci aurait encore des choses à lui apprendre comme l'interdiction de griffer, de faire mal, etc.
  • L'âge idéal déterminé par l'observation et le respect de la maman et du chaton: Il s'agit ici d'une théorie qui ne se fixe (presque) aucune limite...  L'éleveur va, quoi qu'il arrive, attendre que le sevrage alimentaire soit assimilé tout comme la notion de propreté et ne laissera donc jamais un chaton partir avant ses 8 semaines.  Au delà de cet âge, il va observer comment se comporte le chaton et sa maman.  Est-ce qu'elle s'en occupe encore ?  Il mange du solide, ok, mais tète-t-il encore sa maman ?  A-t-il l'air perdu quand elle n'est pas prêt de lui ?  Lui souffle-t-elle dessus quand il approche ?  Cherche-t-elle par tous les moyens à être dans une autre pièce que lui ?  Finalement, lui apprend-elle encore, réellement, quelque chose ?  Dès que la réponse est "Non, elle ne lui apprend plus rien", le chaton est alors prêt à rejoindre sa nouvelle famille sans avoir de futur soucis d'agressivité lié à ce départ.  Dans cette option, on tournera dans un âge allant de 10 à 12 semaines dans la plupart des cas (tout cela dépend évidemment d'un éventuel soucis de santé).

Notre élevage a pris la décision, après concertation auprès de notre vétérinaire, d'autres bons éleveurs et d'après les témoignages de diverses familles, de travailler avec la 3ème théorie qui nous semble être la plus équilibrée (article d'un comportementaliste, en partie, sur le sujet, cliquez ICI) et jusqu'à maintenant, nous n'avons pas regretté une seule fois notre choix !

En effet, au delà de 10 semaines, dans la pratique, nos mamans "de salon" ne se retournent plus sur eux et la plupart sont déjà retombées en chaleur en les "oubliant", se mettent en hauteur pour ne plus être embêtées, voir se cachent dans d'autres pièces pour les plus sympas, ou les agressent pour les autres.

Les chatons nés dans la nature se séparent de leur mère vers 3-4 mois, purement et simplement car elle doit leur apprendre à chasser.  Ce qui n'est pas nécessaire pour nos chats de salon.

De plus,  c'est vers 10-12 semaines justement que le chaton s'attache le plus vite et le mieux avec les personnes/animaux/environnement/bruits qui l'entourent => Si le chaton est avec nous, c'est avec nous qu'il créée des liens forts, pas avec sa famille.

Un chaton apprend à maîtriser ses griffes en jouant, par exemple, avec sa mère, sa fratrie OU avec nous, avec vous.  La technique est simple, si peu qu'il exagère, qu'il fait mal, émettre un son (aïe, par exemple) et calmer le jeu, voir le stopper.  Si vous avez un autre chat, voir plusieurs à la maison, le chaton apprendra également avec eux, tout comme il aurait pu le faire auprès de sa mère.

Si nous regardons les chats "du passé" ayant vécu à la maison, chez les amis, la famille, la plupart ont été accueilli à l'âge de 8 semaines maximum et il n'y a pas eu de soucis, ils étaient câlins et ronronneurs (à quelques exceptions près et selon les caractères de chacun).
Sinon, la plupart des chats seraient des nevrosés car combien sont cédès au delà des 10-12 semaines ?!

Si vous avez un doute sur notre façon de faire (chacun peut, tout à fait, avoir son opinion, sans souci), n'hésitez pas à contacter votre vétérinaire pour avoir son avis et si lui et/ou vous, n'êtes pas d'accord, en toute connaissance de cause, nous pouvons garder le chaton quelques semaines de plus sans aucun problème et pour notre plus grand bonheur. 

Nous essayons toujours de faire de notre mieux, non pas pour faire plaisir aux familles et leurs désidératas mais prioritairement pour le bien-être des loulous et dans ce cadre, nous réfléchissons toujours, nous nous renseignons toujours auprès de vétérinaire, familles et autres éleveurs afin de prendre la meilleure décision possible.





* Une partie de cette page a pu être rédigée grâce à l'aide du groupe "Education positive" que nous remercions vivement !




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